dimanche 6 avril 2008

Bel exemple de cinéma moderne.



Je me dois d’écrire cet critique féroce et sauvage à l’encontre d’un des films les plus infâme qu’il m’a été donné de voir j’ai nommé « The last legion ». Je pourrai passer des heures à énumérer les défauts de cette incroyable bouse mais pour ma santé mentale je pense qu’il vaut mieux faire dans le bref. Je lance tout d’abord une attaque contre les scénaristes de cet immondis qui va laisser des meurtrissures abyssales dan mon âme cinéphilique qui est déjà très mal en point. C’est mal joué, mal filmé, des combats ridicules dignes de Xena la guerrière, les décors en cartons pates m’ont rappelé le déjà très nanar « KALIDOR ». Quand je vois le budget utilisé je me demande vraiment ce qu’ils en ont fait, c’était sans doute pour appâter le fils du grand gillo pontecorvo à la photographie mais là encore je suis au regret d’annoncer que ce monsieur n’a rien retenu de son père, au contraire il bafoue sa mémoire en travaillant pour cette colique cinématographique. Le coté bon sentiments du film me donne envie de vomir, les acteur sont à chier Colin firth en tête, et enfin parlons du magistral final ou le grand Ben Kingsley alias anbrosinus/merlin se met à cracher des boules de feu du bout de ses doigts pour repousser l’ennemi tout droit sorti d’un épisode des power rangers le ridicule Vortgyn qui sert à riennnnnnnnnnnn du touuuuuuuuuut. Franchement ma soirée avait bien commencé j’avais visionné l’excellent Philadelphia et je voulais terminer par un film plus léger me rappelant mon enfance quand j’étais émerveillé par le cultissime Robin des bois de Kevin Reynolds.Enfin voilà Monsieur Doug Leffer s’il vous plait prenez conscience du mal que vous faites à des cinéphiles, vous êtes à l’origine de dépression et quant on pond une telle merde de manière sérieuse c’est qu’on a aucun talent. Alors retournez écrire des scripts pour xena, ou faites nous un vrai nanar agréable et assumé. J’espère sincèrement que ce « Last Legion » sera votre « Last bouse » mais j’en doute, pour résumer ce film pue la chiasse.

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